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Communication corporelle et non verbale

Travail : Vidéos réalisées par groupes + analyses réflexives

  • Intervention 1 : Ponycity

 

Nous avons eu la chance d’avoir la visite de la personne qui a lancé « l’ASBL Pony-City ». C’est une dame qui a décidé de lier sa passion (les chevaux) à son métier (institutrice et orthopédagogue). Elle accueille des personnes de tous les âges, porteuses de handicap ou non. Ils font de l’hippothérapie ou des activités dans la nature (entretien des espaces verts, maraîchage, soin des animaux, ...).

C’est très intéressant de voir et de comprendre les bienfaits que les animaux peuvent avoir sur les humains, qu’on soit atteints d’une déficience ou non. Ils nous apaisent et aident à nous canaliser.

J’ai apprécié ce témoignage parce qu’il était très concret et vivant. Il nous a permis de découvrir encore une facette de ce qu’un orthopédagogue peut faire, hors contexte scolaire.

Ce qui nous a manqué c'est peut-être une visite sur le terrain pour se rendre compte du travail réellement fourni et de voir comment se déroulent les séances de psychomotricité sur les chevaux / autres animaux.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

  • Intervention 2 : la couleur et la magie

 

Nous avons eu la chance de rencontrer Véronique, qui a déjà vécu énormément d’expériences différentes dans sa vie. Elle nous a présenté un atelier centré sur des bricolages avec du matériel très simple (bandelettes de papiers de couleurs, peinture et feuilles transparentes). Nous pouvions faire ce que nous voulions, les consignes étaient très libres. C’est malheureusement le seul lien que je retiens par rapport à notre futur métier d’orthopédagogue. En effet, pour travailler avec des enfants porteurs de troubles ou de déficiences, il vaut souvent mieux laisser libre court à leur imagination plus tôt que de baliser les activités en donnant trop de consignes.

L’activité était plus en lien avec notre formation d’institutrice primaire qu’autre chose, ce que j’ai trouvé un peu dommage. Et même si cette dame a un énorme vécu derrière elle, si nous ne posions pas les questions, nous n’aurions pas su grand chose.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

  • Intervention 3 : Des enfants EXTRA en ATL.

 

Deux coordinatrices des ATL de la région de Uccle sont venues nous présenter leur travail. Pour ma part, je n’avais jamais entendu parler des « accueils temps libre ». C’était donc très intéressant à découvrir. Je pense que c’est très important d’inclure le plus possible d’enfants extras-ordinaires dans les activités extrascolaires donc je soutiens ces projets à 100%. Mais les ATL ne concernent pas que les enfants différents. Ca reprend toutes les activités hors du contexte scolaire. En passant de l’école des devoirs vers les mouvements de jeunesse ou par les différents sports de la région.

Nous avons eu l’occasion, lors de cette présentation d’entendre l’histoire de différents enfants et d’essayer de résoudre certaines difficultés auxquelles les éducateurs des centres ATL sont confrontés. C’était très chouette de faire face à des cas concrets, en sachant que ce qu’on proposerait comme idée pourrait être réellement utilisé pour des cas similaires dans le futur.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

  • Intervention 4 : Initiation au monde minéral

 

L’intervenante étant passionnée par son sujet, elle a réussi à nous captiver assez rapidement. Nous avons pu choisir 3 pierres précieuses différentes. Nous devions les sélectionner de manière intuitive, spontanée, en fonction de leur apparence extérieure. Lorsque nous assemblions les pierres, elles nous disaient qui on était au fond de nous, certains aspects de notre personnalité dont nous n’avions pas spécialement conscience.

Je pense que ça peut être très intéressant à utiliser avec des personnes qui ont des difficultés pour s’exprimer. Ca peut aussi être utile afin de savoir les réels besoins de la personne et pouvoir l’aider le mieux possible.

Cependant, je ne crois pas beaucoup à ce genre d’énergie et de « super pouvoir ». De plus, je pense que pour pouvoir utiliser ces pierres, il faut s’y connaître parfaitement pour ne pas raconter n’importe quoi à nos bénéficiaires et se tromper dans leurs besoins premiers.

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